23 novembre, ne rien lâcher et tout reprendre
Je ne sais pas pour vous, mais en ce qui me concerne, me faire cracher à la figure de cette manière là, en pleine crise financière par un gros capitalo, ça m'a redonné la patate ! Et voilà une autre crise financière en vue : toutes nos petites éconocroques - quand il y en a - qui vont être avalées par l'ogre capitaliste, qui ensuite nous bouffera le râble. Alors on bosse juqu'à en crever, on crève de ne pas bosser ou on se révolte ? La grève du 23, c'est pas la révolution mais ça montre que ce n'est pas fini et qu'il existe un mouvement européen de résistance. Capitalistes, combien de divisions ? Politiciens professionnels aux ordres, hommes d'affaires, indutriels, barbouzes, journalistes du Parti de la presse et de l'argent, intellectuels organiques, mafieux ( trois, quatre millions en comptant les exécuteurs des basses oeuvres des réseaux mafieux) / classe laborieuse : des milliards !
et un petit tract fédéral, un : ici
On ne lâche rien....et on reprend tout.